Description
Mattin-Laurent PARTARRIEU né en 1946
Réparation d’un bateau à SAINT-JEAN DE LUZ
Reproduction originale réalisée par l’artiste.
Toutes reproductions interdites.
Etat neuf
60 x 50.
Largeur encadré : 55.2cm
Hauteur encadré : 75.3cm
Largeur visible du sujet : 54.2cm
Hauteur visible du sujet : 73.9cm
Épaisseur du cadre : 2.5cm
Poids du tableau encadré : 2.8kg
Cadre bois de style moderne dont le chant comporte une rainure. (Voir photo)
Marque: NIELSEN MOSS 85185 noir
Verre : Musée anti-reflet UV70
Encadrement réalisé en 2020.
Ce verre donne l’effet d’une pellicule sur le verre visible sur les cotés.
Les reflets de la lumière sont stoppés sans pour autant agir sur la brillance de l’image.
Il offre une neutralité des couleurs et une extrême transparence du verre pour les couleurs claires et les contrastes.
Provenance : Acquisition auprès de la galerie détentrices des droits de reproduction.
Pour la livraison : Nous confectionnons une protection soignée et confions l’expédition à CHRONOPOST.
Envoi avec assurance en valeur déclarée, correspondant au montant total de votre commande.
Colis remis au destinataire contre signature.
Mattin Laurent PARTARIEU en quelques lignes
Né en 1946 à HASPARREN (Pays Basque français), Mattin – Laurent PARTARRIEU, est un peintre-graveur-lithographe.
Depuis 1970 c’est principalement à Jean de Luz, que l’on peut voir ses œuvres.
(Dans la célèbre galerie Hordago)
A noter aussi que l’on peut trouver aussi ses œuvres dans une galerie de Barbizon, ainsi qu’une galerie sur Pont-Aven.
Chaque saison, l’artiste y présente ses œuvres peintes et ses estampes aux thèmes régionaux multiples et savoureux.
C’est toute une vie locale, symbolique et sensuelle qui se déploie aux cimaises de la galerie de Brigitte DROUGNON, où l’ironie joyeuse
d’un réalisme impeccable le dispute à une atmosphère facétieuse et piquante au fil de multiples épisodes où règne une gent masculine d’aspect identique, au regard pétillant et farceur sur un faciès bien particulier et jubilatoire, tandis que de jolies jeunes dames, en toutes circonstances
font preuve d’une aimable et caustique séduction en créant d’un oeil moqueur l’intérêt d’affirmer haut et fort et gentiment un physique
généreusement dévoilé pour le plus grand bonheur de ces bons hommes saisis avec une remarquable précision des attitudes au sein
d’un décor local parfaitement restitué et d’une indéniable attirance.
Mattin Laurent PARTARIEU vu par un amateur anonyme
C’est à Saint Jean de Luz et uniquement là qu’on peut voir ses oeuvres… Dans une galerie basque affichant les couleurs, la galerie Hordago.
Mattin Laurent Partarrieu a plus de 70 ans, mais ses tableaux respirent la jeunesse. Ce sont des moments de vie, croqués avec gourmandise. Un peu de nostalgie quand même car tout évoque les années 50-60, soit ses années de jeunesse. Une France insouciante où on retrouve souvent le même personnage, un homme jeune au nez aquilin qui symbolise l’homme basque. Ou simplement l’auteur, tellement ces scènes de vie transposent les fantasmes masculins. Les filles y sont toujours belles, diablement sexy et plantureuses, et le regard de l’homme sur elles porte une étincelle égrillarde qui donne à ses toiles une pulsion de vie très touchante.
Les toiles de Partarrieu parlent aux hommes. Ce sont les œuvres d’un homme qui fait un clin d’œil complice aux autres membres de la gente masculine. Et c’est redoutablement efficace, comme cette scène de bicyclette ou cette image fantasmée du rugby mixte.
Alors bien sûr, si on vibre devant ces tableaux, on ne les achète guère. Les pulsions y sont trop visibles et les femmes sont moins sensibles à l’idée de coller à leurs murs les projections de leurs hommes. D’autant que le caractère « bande dessinée » et les couleurs vives de ces tableaux qui débordent de joie, ne se prêtent pas à tous les intérieurs. C’est bien dommage, car cette peinture-là prête à sourire.
Alors, si vous passez à St Jean de Luz, ne manquez pas une visite à la galerie Horgado. Vous y dégusterez des tranches de vie croustillantes, comme du bon pain chaud au miel. Et les images d’un Paris de carte postale vous donneront, à coup sûr, le sourire.
Sources : Mattin Laurent PARTARRIEU en quelques lignes André RUELLAN, critique d'art ART ET CULTURE FRANCE Blog de Bernard site calenbredaines.fr mai 2017